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Bruits et chuchotements...

vendredi 12 mars 2010

Du salon agricole au supermarché
Nous vous avions annoncé une nouvelle chronique « Bruits et chuchotements » pour hier ou aujourd’hui. L’actualité nous a empêché d’en mettre une en ligne hier, jour d’ouverture du salon agricole des Hautes-Pyrénées, l’évènement phare de la semaine en Bigorre. Ce matin, l’actualité nous a encore conduit au salon agricole, où les manifestations se bousculent. Au hasard de nos pérégrinations, nous avons rencontré une de nos connaissances lourdaises qui nous a félicité pour l’indépendance dont nous faisions preuve, soulignant qu’il se rendait deux fois par jour sur lourdes-infos.com pour « s’y régaler ». Des compliments de ce genre, ça fait toujours plaisir.

Au retour, nous sommes allés dans un supermarché de la cité mariale. On ne vous le citera pas, because publicité. Là, devant le rayon « fruits et légumes », deux copains de longue date, Jean-Paul et Louis, sont en pleine discussion. En m’apercevant, leurs propos baissent de ton.

 Tu tombes bien Gérard, me lance Jean-Paul. Nous étions en train d’évoquer les élections régionales. Nous nous étonnions avec Louis du peu d’implication du maire de Lourdes, ton « grand ami » Artiganave. Qu’en penses-tu ?

 GM : Pas de déclaration à ce sujet. Je fais falloir le droit de réserve.

 Jean-Paul : Ton droit de réserve, il va jusqu’où ? Est-ce que tu peux nous parler du procès avec DPP, la rédactrice préférée du maire comme tu la qualifies ?

 GM : Si je l’ai baptisée « rédactrice préférée », c’est tout simplement parce qu’il l’a choisie pour être d’abord la plume du magazine de la communauté de communes du pays de Lourdes avec CG, une colistière de la liste »Lourdes avec vous » puis du bulletin municipal avec la même CG. ET ce toujours sans faire appel à la concurrence. Des privilèges sur lesquels JPA n’a jamais donné d’explications. Une précision d’importance : ce n’est pas de la jalousie de notre part car nous ne serons jamais soumissionnaire dans ce genre de marché public. Nous pensons tout simplement à celles et à ceux qui auraient été intéressés par la publication de ces deux supports. Cette mise sur orbite, on l’a également ressentie au début de la saison du Football-Club-Lourdais où CG s’est carrément « bombardée » chargée de la communication interne avec, semble-t-il, la bénédiction « artiganavienne ». Il en a résulté quelques bugs sur lesquels je vous propose de revenir une fois que l’avenir du FCL sera connu.

 Louis : Tu m’éclaires mieux et je m’explique désormais la présence fréquente de ce trio dans les tribunes du stade Antoine ainsi qu’au match le Bugue-Lourdes, du 15 novembre 2009.

 Jean-Paul : Reviens sur ce procès en diffamation avec DPP. Qu’en est-il ? Est-ce que c’est vrai que tu n’as pas payé la somme de la consignation ?

 GM : Je vais te dire toute la vérité mon bon Jean-Paul . Et ce que tu as entendu, notamment dans le bar que tu fréquentes , est loin de refléter la réalité. Le 23 février dernier - une date que M. Artiganave aime mettre en exergue (il l’a rappelé à la dernière séance du conseil municipal car il fête ce jour-là son anniversaire, 56 ans cette année) – DPP avait été invitée à comparaître par mes soins à la barre du tribunal correctionnel suite aux propos diffamatoires qu’elle avait tenus à mon encontre le 14 août 2009, lors d’une conférence de presse en mairie de Lourdes (réécouter l’enregistrement). Cette date du 23 février 2010 avait été fixée le 23 novembre 2009 par la présidente du tribunal correctionnel. Et comme dans toute affaire de diffamation, un chèque de consignation avait été fixé. Son montant : 1 000 euros. Il devait être versé dans un délai d’un mois. La date limite étant le 24 décembre 2009. Le chèque a été établi par nos soins le 9 décembre 2009, Notre avocate l’a réceptionné le lendemain. Le 23 février dernier, nous avons appris à notre grande stupéfaction par la présidente que le chèque avait été mis à l’encaissement le 4 janvier 2010, soit quinze jours après le délai, ce qui se traduisait par une déclaration d’irrecevabilité. DPP pouvait jubiler mais elle n’était pour rien dans cette décision. La faute – et elle été reconnue – incombe au cabinet de notre défenseur. C’est une faute grave dont elle entend porter la responsabilité. En matière de diffamation, la prescription intervient au bout de trois mois.

 Jean-Paul : L’affaire est donc terminée ?

 GM : Pour la diffamation oui. Mais des rebondissements ne sont pas à exclure.

 Louis : En ville, on évoque des attestations surprenantes.

 GM : Oui, il y en a une qui est stupéfiante. Mais si vous voulez les gars, on en reparlera une autre fois.

Projet Guignard : le promoteur fait appel
Nous avons appris en début de semaine que la SARL Guignard Promotion a déposé un recours devant la commission nationale d’aménagement commercial (CNAC) à l’encontre de la décision de la commission départementale d’aménagement commercial (CDAC) intervenue le 26 janvier 2010, refusant la création d’un ensemble commercial sur le territoire de la commune de Lourdes. C’est le même projet qui sera présenté devant la CNAC

Ecole Mgr Méricq : une suppression d’un poste qui passe mal
Ça bouge chez les parents d’élèves de l’école Mgr Méricq ! La suppression d’un poste d’enseignante par la direction diocésaine de l’enseignement catholique, ramenant les effectifs de 3 à 2, crée de sacrés remous. Une manifestation est intervenue ce vendredi matin. Les parents d’élèves - une trentaine – menacent de retirer tous les enfants de l’école si la décision était maintenue. Ils cherchaient à joindre Mgr Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes. Ils devraient être reçus lundi matin par le maire de Lourdes qui, en l’espèce, n’a aucun pouvoir de décision.